Pavillon de Chasse de Warrington (Venceslas et Dietrich)

Le Baron vous emmène dans un joli pavillon de chasse, situé à une journée de cheval de sa ville. Outre le baron, une dizaine de gardes et les roturiers s'occupant du camp et de la chasse, se trouve son deuxième fils, Henri Warrington. Un jeune homme d'environ 15 ans, tout heureux à l'idée de chasser.

Au menu : chasse au cerf la première journée et le lendemain une chasse au cydrion (un animal féroce, constituant un trophée de chasse recherché).

Le Baron s'approche de vous :
"Bienvenue à vous nobles seigneurs"

"Bonjour Baron c'est toujours un plaisir de vous voir"

"Je vois que vous n'êtes pas venu seul. QUi est cette personne ?" Désignant Venceslas

"Il s'agit du seigneur Venceslas Krakow, que j'ai rencontré lors de cet incident avec les Raiders, c'est un vaillant guerrier, un bon compagnon et en l'occurrence un excellent chasseur.
Je me suis laissé aller à penser que sa compagnie lors d'une partie de chasse vous serait agréable et rendrait la chasse d'autant plus fructueuse."

Un sourire hypocrite apparait sur son visage
"Vous avez bien fait, cher ami, je sens que cette chasse sera passionnante."
Il fait un signe à un de ses serviteurs puis salue Venceslas. Un noble un peu plus loin s'approche de votre groupe.
"Bonjour à vous, je me présente Baron Warrington, ravi de vous rencontrer." Il s'avise de la venue du noble et fait les présentations :
"Voici le très honorable Bertrand Trencavel, plus connu sous le nom du Renard Noir."

"Voici donc le fameux Renard Noir, votre renommée dépasse les frontières, enchanté de vous rencontrer. A vrai dire je ne m'attendais pas à voir à une partie de chasse un homme aussi... occupé que vous"

Le Renard Noir (posture décontractée, une coupe de vin à la main)
"Vous me flattez trop seigneur, j'adore chasser et ce n'est pas tout les jours qu'on peut traquer un cydrion , je suis heureux de voir que nous serons en bonne compagnie."
Apercevant Grotzny, le molosse de Venceslas
"Oh un magnifique chien des Oleg, splendide bête, je suis jalaoux cher ami "

*Donne un coup de coude discret à Vinceslas pour qu'il fasse semblant d'être poli*
Au Renard Noir: "Vous êtes un connaisseur à ce que je vois, je ne suis moi même pas un novice en matière de chasse mais j'avoue n'avoir jamais chassé le cydrion, je suis impatient de voir cette bête"

Renard Noir :
"C'est une bête féroce, dont les crocs peuvent traverser un plastron de chevalier. Une créature digne d'un chevalier."

Venceslas est accroupie, en train de caresser son chien sans trop regarder les gens. Quand on évoque la proie de la partie de chasse, son oeil s'allume. Il regarde le renard noir dans les yeux.
"Mon grand père, Dieu ait son âme, en a tué un qui rôdait sur nos terres. Sa dépouille orne notre salle des trophées et fait la fierté de ma famille. J'ai hâte de me confronter à une telle proie."
Il regarde un instant son chien, occupé à mastiquer un morceau de viande séchée, puis regarde à nouveau Warrington. "Bien sûr, à chaque époque sa chasse et peut être nous faudra-t-il nous contenter d'un noble cerf avant d'occir cette bête féroce."

Les yeux du Renard Noir s'illuminent quand il entend le mot trophée. Il tapote la tête du molosse puis se redresse.
"Oublions ce cerf, une proie noble mais j'ai peur que le cydrion parte d'ici là. Je propose que deamin nous partions directement après lui. Nous laisserons les cerfs en paix cette fois-ci. Qu'en pensez vous Baron ?"

Le baron sourit en voyant son capitaine de la garde.
"Comme vous voulez Trencavel, j'ai des affaires urgentes à régler et je n'aurais pas eu le temps de chasser. Partez demain, je donnerai les ordres nécessaires pour que tout soit prêt."

En ce cas, Mein Herr Dietrich, je vous suggère de vous joindre à la chasse. Un cydrion n'est pas une proie dont vous voulez rater la vue. Il serait dommage de rester tout seul dans le camp pendant que nous nous amusons.

Hélas mes rhumatismes sont revenus et je ne pense pas pouvoir participer à une telle chasse, mais ne vous inquiétez pas pour moi la propriété du baron possède certainement tout le confort nécessaire, et pour ce qui est du Cydrion vous fait confiance pour en ramener la dépouille.

En ce cas, si votre confort est assuré, je pars à la chasse le coeur léger. J'espère que vous aussi trouverez gibier à votre goût.

Venceslas compte se préparer à la chasse du mieux possible. Il me semble que Grozny sera le seul chien nécessaire, mais j'emporte un épieu solide et met un gambison sous ma tunique, on ne sait jamais.Sinon, je passe la soirée à discuter avec les autres veneurs et je les fais boire un peu, si possible.

Le lendemain, je prends un petit déjeuner hyper solide, j'emporte une bonne miche de pain et une gourde d'eau, au cas où il me faudrait passer plusieurs jours dans la forêt.

Un peu plus tard Le chevalier Noir et 3 autres nobles te rejoignent juchés sur leurs chevaux prêts à partir. Ils portent tous des portections de mailles aux bras et aux jambes, ainsi qu'un casque de cuir, de solides épieux et leurs épées.

Plusieur serviteurs les accompagnet avec une meute de 20 chiens. dès que tu es prêt la chasse est lancée

Je les attendais, donc je suis prêt, donc on part. Je reste à proximité du Renard noir et lui fait la conversation, sur tout et rien.

"Que chasse-t-on d'ordinaire, dans votre pays?"

Cela dit, je laisse Grozny avec moi, pas au milieu des chiens de meute. S'il flaire quelque chose, je le laisse aller dans la direction qu'il indique et je le suis à dix mètres à peu près.

"Dans mon pays ? Je suis originaire de Trencavel, là bas je chassai le cerf, le buffle et le loup, parfois des chasses au gerfaut; depuis que je suis installé chez Warrington, plutot du sanglier, chevreuil et des ours. A l'occasion un Krak (gros varan terrestre) mais je suis pas fan des sang froid."

"Et vous chassez toujours à courre, j'imagine? Avec une meute et des rabatteurs?"

Au fait, on chasse quoi dans mes montagnes?

" A la courre ? Non pas tout le temps mais j'aime beaucoup cette chasse très sportive." (Chez toi on chasse le loup, lynx, ours, cervidés variés et je te laisse inventer une ou deux bêtes locales)

Dans mon pays de montagnes et de grandes forêts, nous autres nobles chassons plus volontiers en petit comité. Les forêts sont grandes et une meute trop bruyante effraie le gibier plus qu'elle ne le rabat.

Nos expéditions durent souvent plusieurs jours et nous traquons surtout du gros gibier. La pente ne nous permet pas toujours de tuer notre gibier à l'épieu et ma famille s'enorgeuillit de chasser l'ours à l'épée. Quand il s'agit d'un Ugrati, un de ces ours géants que nos ancêtres prenaient pour de dieux de l'eau, une épée n'y suffit que rarement!

Il nous arrive cependant de devoir protéger nos gens contre des bestes nuisibles, comme les garolf ou de simples meutes de loups.